Quelle est la formation requise pour travailler dans les garderies ?

Marisa Sánchez Herrero travaille actuellement comme technicienne en éducation de la petite enfance. Elle a étudié le degré supérieur de FEP en tant qu’éducatrice d’enfants et, par la suite dans le but d’ouvrir plus de portes sur le marché du travail, elle a étudié à l’Université pour être enseignante d’éducation de la petite enfance.

Quelles sont les qualifications requises pour travailler dans une école maternelle ?

Pour entrer dans n’importe quelle école maternelle, vous pouvez accéder depuis l’enseignement, le fait d’enseigner l’éducation de la petite enfance ou d’avoir le technicien principal de l’éducateur de la petite enfance. Il y a également des assistants à l’éducation précoce, mais ils ne peuvent pas servir de tuteurs, ils ne seront que des assistants.

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Avec le plan actuel, pour pouvoir accéder au niveau supérieur, vous avez besoin du baccalauréat ou de passer les tests d’accès à des cycles supérieurs de FP.

Quelles études conseillez-vous ?

Baccalauréat en éducation des enfantsUniversidad – Nebria Prix à consulterEn savoir plusMaster en éducation des enfants Florida Universitària 400 €/MesVoir pluVoir tous les cours

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Comme c’est le cas et avec les réductions actuelles, je recommande au moins un diplôme plus élevé ; bien que cela vous limite beaucoup car vous ne pouvez travailler que dans les garderies. Si vous restez seul à ce stade, vous avez peu d’options car, en outre, il n’y a pas beaucoup de places et en public, il y a aussi beaucoup de coupes. Et ils demandent généralement des enseignants parce qu’il y a beaucoup de personnes qualifiées.

Je pense que la meilleure chose est de faire carrière et de s’inscrire à l’échange d’emplois de l’administration régionale pour travailler comme éducateur de l’éducation de la petite enfance, technicien en éducation de la petite enfance, professeur d’enfant et une autre option à laquelle vous pouvez accéder en tant que éducateur spécialisé.

Le meilleur entraîneur de la course est-il très différent ? 

Marisa Sánchez Herrero, technicienne en éducation de la petite enfance

Lorsque j’ai étudié, dans la classe supérieure, tout était plus orienté vers le travail de la maternelle. Dans la carrière, en revanche, ils ont un plus large éventail de matières et de crédits et les études ne sont pas plus difficiles, elles sont simplement différentes. À l’heure actuelle, le niveau supérieur n’a pas changé, mais la course avec le Plan Bologna n’a pas changé.

Quelles recommandations donneriez-vous aux jeunes qui envisagent de réaliser ces études ?

La vérité est qu’il y a maintenant peu d’issue et que la seule possibilité est de quitter la carrière et de poursuivre la formation avec des cours de troisième cycle. Et si vous le pouvez, pour prendre de l’expansion, il est conseillé de se rendre dans un pays comme la Finlande ou l’Italie, exemple de systèmes éducatifs de premier plan, et voyez comment ils fonctionnent et comment ils fonctionnent.

Les études et le travail sont-ils très différents ? 

C’est très différent parce que, avant tout, vous avez de nouvelles idées et une nouvelle vision de ce qu’est l’éducation, mais vous rencontrez beaucoup de gens qui sont laissés pour compte.

Le travailleur en est évidemment responsable, mais c’est également la faute du système lui-même qui devrait recycler les professionnels et les sensibiliser à ces nouvelles perspectives. Un enseignant qui a étudié il y a 20 ans n’a rien à voir avec ce qui est actuellement étudié.

Le travail avec les enfants est-il reconnaissant ? Diriez-vous qu’il comporte une composante clairement professionnelle ?

Cela compense parce que j’ai toujours été clair que j’aime les enfants. Vraiment le les gens qui le ressentent, l’aiment et s’impliquent, pour eux, c’est un travail avant, pendant et après l’école parce que vous pensez toujours à vos enfants. Si vous faites votre travail à cent pour cent, vous faites tout, du niveau le plus émotionnel au niveau le plus didactique.